Cruelles, car concédées à domicile, sur le plus petit des écarts, les défaites contre Mulhouse (24 – 25) puis Strasbourg (28 – 29) ont marqué les esprits. “Nous devons chasser le doute par l’action, et mettre en oeuvre le bon comportement technique et mental” affirme Guy Vigné, l’entraîneur Bois-Colombien. Pour couper court au débat sur l’application erronée ou non de “la règle des 30 dernières secondes” par les arbitres, samedi dernier, il ajoute “Basta ! Fini les fausses excuses à posteriori”.
Un message qui ramène ses joueurs à leurs propres responsabilités, et à l’indigence de leur prestation au cours de la première période contre Strasbourg. On espère que contre la jeune équipe de Thionville, les Bleus soigneront leur entame et sauront mieux contenir leurs temps faibles.
Les Mosellans, s’ils présentent quelques lacunes défensives, disposent en revanche d’une attaque redoutable, au sein de laquelle les frères Alibaux (arrivés de Metz et de Fensch Vallée à l’intersaison) et Anthony Cardillo s’en donnent à coeur joie.
Pour les Bleus, la victoire est indispensable, tant sportivement que psychologiquement. Leurs supporters leur pardonneront une copie “peu soignée” pour peu que le succès soit au rendez-vous. Reste que les deux ne sont pas antinomiques…
Le groupe de Strasbourg Schiltigheim a été reconduit.
Rappelons qu’en lever de rideau, à 18 heures 30, notre réserve 1B accueille un des trois co-leaders de sa poule, Le Bourget.